Poésie



Les Feux du Mals



À défaut du bien les gestes de l'impassant.

Trop de temps passé avant que la fleur Anuiste ai été coupée, la porte du jardin était toujours ouverte, la myosotis à la vu de tous. Le jardinier pouvait toujours enlever les fleurs du mal, mais il n'en fit rien. Aux vers qui sommeils en moins, il devait chômer au loîre, assis sur présentoir. Bien que chère payé pour son devoir, il s'entretenait au massoire.

Voilà même des années que ces pousses sont épanouies et qu'elles volent au vent. Qu'elles soit emportés crie le malheur de sa prison. De verre ou lucide outrant, les parents par trans-cision n'ont pas vu l'enfant, du voir travers. C'est à en flétrir de mort.

La prose substitution.







Le portrait d'éve.

La peinture au champ être d'éve la vie rongée par le ver goulue, le serpent qui mange le fruit par entrailles. La vie pour yve le fruit de l'arbre qui bientôt devait être jeté au feu pour son mal oeuvré.

La fourrure du ver maupassant.







Le Dico dans l'Anal-pha-beta, aux termes justes mais pas compris!

Aux-bas-maux du ventre goulu, des petits vers qui forment la prochaine vie par synthèse, mise à bas la définition de la genèse, se conjugue par étymologie du trans-mettre. L'écriture de la forme. La forme d'écriture moulée, du savoir résiduel.

un ver moulue.







La mise dans l'évidence.

Le cri de l'aveu, le châtiment preux, qui se tient fort dans la loge, en-creux. Le d'écoulement de l'histoire s'écrie...

Mettre dans le prude, les maux de la fin...







L'Autre évidence, le flagrant de l'imago, l'imagé inimaginable, un imagié...

Le doigt qui pointe sur le détail, un détail pointé, précis, sur la mise en évidence, d'un savoir qui se perd sans quoi!.... La prostique, émmanuella pour elle, pour son beau, pour la sauver.

Au notoire concis.










das Vergissmeinnicht

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